construire un feu
conte philosophique pour tout public
L’histoire de cette nouvelle (1903) de Jack London est d’une extrême simplicité. Elle met en scène un voyageur solitaire du Grand Nord accompagné de son chien. En une journée extrêmement froide, celui-ci doit, dans un paysage de neige et de glace, rejoindre le campement où l’attendent ses compagnons. La tâche serait réalisable s’il ne tombait accidentellement dans un trou d’eau. Il sait alors que sa survie dépend de la possibilité de faire du feu. L’histoire s’achève sur la mort de l’homme anonyme, victime de son manque d’imagination.
d’après la nouvelle de Jack London, (adaptation : F. Delaive et D. Roodthooft)
PRIX DU THÉÂTRE : MEILLEUR SEUL EN SCÈNE 2003
« La vie sans fin que tu cherches, tu ne la trouveras pas!. »
Epopée de Gilgamesh
production
Grand-Guignol / Théâtre de la Place / Théâtre National / Halles de Schaerbeek
Avec l’aide de la Maison de la Culture de Tournai
création et diffusion
décembre 2002 : Théâtre de la Place - Liège
janvier 2003 : Théâtre National - Bruxelles
février 2003 : Halles de Schaerbeek - Bruxelles / Maisons de la Culture à Tournai et à Marche
65 représentations
distribution
Conception et mise en scène : Dominique Roodthooft
Interprétation : François Delaive
Scénographie : Philippe Henry
Lumière : Laurent Kaye
Son : Roger Verhoeven
Musique : More pling pling
Régie : Joël Bosmans
Déléguée de production : Céline Renchon
extraits de presse
« …Seul en scène, François Delaive mène avec talent et conviction cette nouvelle à la fois poétique et cruelle de vérité, jusqu’à sa fin inéluctable. Dans une mise en scène réalisée par Dominique Roodthooft, Construire un feu trouve une version intimiste qui ne pouvait que renforcer l’intensité de ce récit poignant. (...) Dans une atmosphère de communion, qui n’est pas sans rappeler la tradition des anciennes veillées centrées autour du feu, source de vie, chaque pensée, chaque sensation décrite prend une dimension universelle qui replace la nature humaine dans l’infiniment grand et l’infiniment petit. »
La libre Belgique, mercredi 18 décembre 2002, Stéphanie
Koch
« … Construire un feu est une des plus belles nouvelles de l’écrivain américain Jack London d’une simplicité, d’une nudité apparente. (…) Et la beauté, la réussite du spectacle proposé par la compagnie Grand-Guignol et le Théâtre de la Place, c’est d’avoir maintenu cette ligne de flottaison entre le réel et l’imaginaire, et d’avoir préservé toute la magie et toute la liberté d’interprétation que donne la lecture de la nouvelle. »
Le Soir, mercredi 13 décembre 2002, Michèle Friche
« ...Chef d’œuvre de transposition théâtrale, ce spectacle est une invitation on ne peut plus belle et pertinente à aller au théâtre avec nos enfants, -à partir de 11 ans-, pour passer un moment d’intelligence, de beauté et de sensibilité... »
RTBF, 21 janvier 2003, Françoise Nice
« La mort était blanche... Un spectacle à voir en famille pour savourer ce texte de l’auteur de « Croc-Blanc », rendu à la perfection »
L’Echo, 30 janvier 2003, Sophie Creuz
presse
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